Une journée à ... / Voyage

Strasbourg

Six heures moins dix du matin, le lundi 28 août 2017, je quitte mon domicile parisien pour me rendre comme la semaine dernière à la Gare de l’Est, cette fois-ci direction Strasbourg, une ville que je commence à bien connaître. J’arrive en Gare de Strasbourg avec près de trente minutes de retard. Pierre qui vient de Mulhouse m’accompagne le temps de cette journée. Lorsque mon train arrive en gare, il m’attend sur le quai. Après être passés déposer des affaires à la consigne de la gare, nous nous mettons tous les deux en route vers la Place Kléber où nous avons rendez-vous avec Reynald, le directeur adjoint de Batorama et Sarah une collaboratrice. Il nous avait concocté avec son équipe un planning génial ! 

Le matin, nous nous sommes baladés dans la Petite France, un quartier très pittoresque et assez difficile d’accès seule en fauteuil roulant. Reynald a beaucoup poussé mon fauteuil et a dû le faire rouler sur deux roues en restant derrière bien entendu. C’était, semble-t-il, pour gagner du temps. Après cette promenade, nous avons rejoint le parvis de l’emblématique cathédrale construite sur des fondations datant de 1015 et où nous avions tourné un petit peu avant d’aller manger à la Maison Kamerzell à deux pas. 

Cet établissement a la possibilité de mettre une rampe pour accéder à l’intérieur. Au restaurant, Pierre, Reynald, Sarah et moi-même avons retrouvé Thomas l’un de ses collaborateurs. Je garde un très bon souvenir du repas comme de l’accueil qui m’a été réservé dans cet établissement. À la fin du repas, Véronique Herbreteau guide-conférencière nous a rejoint avant de nous faire une superbe, mais bien trop courte visite de la cathédrale, mais le temps était compté.

En effet à 15 h 15, il était l’heure de monter à bord de la vedette de Batorama équipée pour accueillir les personnes à mobilité réduite. Une visite très riche. Après une heure dix de promenade sur l’Ill, nous sommes de retour à l’embarcadère. J’ai tenu à manœuvrer moi-même en marche arrière en prenant mes responsabilités. J’ai fait une chute sans gravité. Donc, conclusion : laissez les équipes vous sortir du Batorama. Cet incident n’a pas entaché ma visite. Plus de peur de la part de l’équipe qui m’a accueillie et que je remercie. 

Pour finir la journée, nous sommes allés au musée Tomi Ungerer où j’ai été accueillie par Thérèse Miller la conservatrice du musée ouvert en 2007.

Cet article n’aurait pas pu être rédigé sans les équipes de Batorama & GoodWay. Je remercie La maison Kamerzell, le Musée Tomi Ungerer, les équipes de Batorama et son directeur adjoint Reynald Schaich, Je remercie également, la très précieuse guide Véronique Herbreteau, Sarah Angelier et Thomas Azan de Goodway, mon assistant et ami Pierre Bayon

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